Secteur I : Santé et Lutte contre les Pathologies Récurrentes (SLPR)

  1. Projet Lutte contre les Violences Basées sur le Genre et Promotion des Droits de la Femme (LVBG/PDF) :

Objectif Général du Projet : Réduire sensiblement les violences basées sur le genre (VBG) dans la zone d’intervention du projet d’ici la fin du projet ; Objectifs Spécifiques : OS1. Sensibiliser d’ici la fin du projet, 60% de la population de la zone d’intervention, âgée de 15 ans et plus, sur les violences basées sur le genre et les mécanismes de recours existants en cas de VBG ; OS2. Sensibiliser d’ici la fin du projet, 60% des hommes de la zone d’intervention, âgés de 15 ans et plus sur les inégalités de genre et pour leur implication dans la lutte contre lesdites inégalités ; OS3. Prendre en charge d’ici la fin du projet, 100% des victimes des VBG identifiées, sur les plans psycho sociale, sanitaire et juridique.

Secteur II : Education, Formation et Entrepreneuriat des jeunes (EFEJ)

1.PROJET Centres ABALS (Approche Bilingue pour l’Apprentissage d’une Langue seconde) : Le projet consiste à recruter des apprenantes jeunes/adolescentes de 9 à 15 ans, qui n’ont pas eu la chance d’aller à l’école ou celles qui ont abandonné précocement l’école à cause du terrorisme, pour leur assurer des apprentissages théoriques et pratiques de métiers dans un bref temps selon leur disponibilité. Il s’agira de leur apprendre à lire, à calculer, à écrire, etc., dans leur langue maternelle et en français. Ces rudiments leur serviront de base pour une formation pratique afin de leur permettre d’acquérir des compétences de vie pour s’insérer dans la vie pratique et active.

 

2.Projet d’Apprentissage Accéléré pour les Enfants et Adolescents Non Scolarisés dans les zones impactées par l’insécurité au Burkina Faso : Il s’agit d’un projet d’innovation éducative. Le projet vise à permettre les enfants dont la scolarisation a été perturbée dans les zones à fort défis sécuritaire, de pouvoir reprendre leur apprentissage et d’achever leur cursus scolaire et à temps. Partenaires techniques : la Fondation STROMME et le MEBAPLN ; Partenaires Financiers : à rechercher. 

 

Secteur III : Développement local et Environnement (DLE)

  1. Projet de construction et d’exploitation de fermes piscicoles TAANYAMA : le projet vise à doter chaque section provinciale de l’AJTD, au moins une ferme piscicole. La production des poissons, de préférence le tilapia, peut être menée soit en cages flottantes soit en étangs creusés ou encore en hors sol.

Objectifs :

– Accroitre l’offre de poisson tilapia sur le marché local ;

– Créer de l’emploi descend aux membres de l’AJTD ;

– Augmenter les revenus des membres de l’association AJTD, regroupés sous les Fermes Piscicoles TAANYAMA (FPT).

Secteur IV : Bonne Gouvernance et Actions Humanitaires (BGAH)

1. Projet promotion des valeurs de Civisme de citoyenneté et de solidarité au Burkina Faso : La période actuelle est marquée au Burkina Faso par une crise sécuritaire et humanitaire d’une ampleur sans précédent. Face à une telle réalité, des actions multiformes doivent être entreprises à l’endroit de la population burkinabè afin qu’elle puisse développer une résilience accrue face à la situation et un attachement sans faille aux valeurs de citoyenneté, de civisme et de solidarité. C’est en cela que réside l’intérêt du Projet. La citoyenneté doit s’exprimer à travers la participation active des individus à des initiatives locales et nationales où les citoyens vont s’engager de façon soutenue dans des actions de soutien aux déplacés, de secours humanitaires et de renforcement de la cohésion sociale. Le civisme doit être mis en avant, avec des efforts visant à promouvoir continuellement la paix, la tolérance et le respect des droits fondamentaux malgré le contexte difficile. La solidarité, quant à elle, doit se manifester aussi de façon soutenue à travers la mise en place de réseaux d’entraide.

 

2. Projet sensibilisation et lutte contre l’extrémisme violent au Burkina Faso : Ici, il s’agira d’agir par la sensibilisation sur les facteurs menant à l’extrémisme violent qui sont à la portée de l’association. Ces facteurs peuvent être aussi bien au niveau socioéconomique, politique que culturel.